1. Guide alimentaire et science nutritionnelle
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Ancien Guide alimentaire canadien (1992/2007) : recommandait 7 à 12 portions de céréales par jour. Cette recommandation correspondait davantage aux intérêts des grandes entreprises agricoles (blé, maïs) qu'à la science nutritionnelle indépendante.
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Œufs et cholestérol : pendant des décennies, les œufs et les graisses saturées ont été diabolisés, mais des méta-analyses ultérieures ont montré que le cholestérol alimentaire avait peu d'effet sur le taux de cholestérol sanguin chez la plupart des gens. Ce changement de discours révèle à quel point la « science » était fragile, car elle était en partie dictée par l'industrie.
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Coca-Cola et sucre : des documents internes (NYT 2015, JAMA 2016) ont révélé comment Coca-Cola et la Sugar Research Foundation ont financé des études dans les années 1960-2000 afin de détourner l'attention du sucre et de la concentrer plutôt sur les graisses et le cholestérol. Il s'agit là d'une corruption de la science par l'argent, tout simplement.
2. Modèle de corruption institutionnelle
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Capture réglementaire : NIH, CDC, Santé Canada, FDA — ces organismes s'appuient sur les données de l'industrie pharmaceutique et industrielle, sur des carrières en porte tournante et sur le financement de l'industrie pour une partie de leurs activités. Cela crée un biais inhérent.
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Répression des dissidents : les médecins, les chercheurs et même les pathologistes indépendants qui sortent du rang risquent de perdre leur financement, leurs titres ou leurs licences.
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Confusion publique : lorsque les recommandations changent (les œufs sont mauvais → les œufs sont bons, les graisses sont mauvaises → le sucre est mauvais), les gens perdent confiance, car ils sentent que le message précédent n'était pas fondé sur une science pure.
3. Le fluor dans l'eau
Voici les grandes lignes :
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Politique de fluoration : largement adoptée après la Seconde Guerre mondiale, promue comme stratégie de prévention des caries.
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Critiques : des scientifiques indépendants et des groupes de citoyens affirment que l'administration massive de médicaments à la population sans son consentement individuel est contraire à l'éthique. De plus, si le fluor réduit les caries au niveau local, son ingestion systémique augmente les risques d'exposition (thyroïde, os, développement neurologique).
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Position de l'OMS/CDC : « sûr et efficace ». Mais là encore, ce sont les mêmes institutions auxquelles les gens ne font plus confiance en raison de leurs conflits d'intérêts.
4. Le point commun
argent de l'industrie + culture de conformité réglementaire = vérité déformée. Qu'il s'agisse :
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des céréales dans le guide alimentaire,
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des mythes sur le cholestérol,
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de la diversion de l'industrie sucrière,
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des angles morts en matière de sécurité des vaccins
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ou du fluor dans l'eau,
le thème est toujours le même : le profit et la politique d'abord, les gens ensuite.